la différence entre cystite et pyélonéphrite
Magazine 17 octobre 2022

La différence substantielle entre la cystite et la pyélonéphrite

Chère amie,

Le sujet d’aujourd’hui porte sur la différence entre cystite et pyélonéphrite. Une différence substantielle.

Oui, parce que beaucoup de personnes sont confuses à ce sujet, avec le risque de choisir un mauvais traitement qui pourrait aggraver une situation déjà compliquée au départ ! 😱

Comme vous le savez peut-être déjà, notre urètre (le petit tube par lequel nous faisons pipi) est plus court que celui des hommes. Il est donc beaucoup plus facile pour les bactéries d’y pénétrer et de nous tourmenter plus que de raison.

Et c’est aussi cela qui nous expose le plus aux infections urinaires et à la redoutable pyélonéphrite.

Mais allons droit au but : il faut savoir comment distinguer ces deux infections, n’est-ce pas ?
Nous sommes partis ! 💪🏼

Comment savoir si c’est une cystite ou une pyélonéphrite ? Que les choses soient plus claires

Pyélonéphrite : pourquoi il ne faut pas confondre cette infection avec la cystite

La pyélonéphrite est uneinfection rénale qui ne doit en aucun cas être sous-estimée.

En effet, cette maladie entraîne une hypertrophie des reins, risquant de compromettre définitivement leur fonctionnement.

Il n’y a donc pas de quoi plaisanter : la pyélonéphrite peut mettre la vie en danger.

Les symptômes apparaissent généralement dans les deux jours suivant l’infection et peuvent être :

  • fièvre supérieure à 38,9°C ;
  • miction douloureuse, brûlante, urgente et fréquente ;
  • douleur dans l’abdomen, le dos, la hanche ou l’aine ;
  • une urine trouble et malodorante ;
  • du pus ou du sang dans les urines ;
  • la nausée ;
  • des tremblements ;
  • la fatigue ;
  • malaise.

Certains souffrent également de pyélonéphrite chronique, mais il s’agit d’une variante plus rare, dans laquelle les symptômes sont légers, voire inexistants.

À ce stade, vous pourriez vous demander : « D’accord, certains symptômes sont communs, mais quel est le rapport avec la cystite? 🤔

Bonne question.

Le point commun entre les deux est le fait que, comme 80 % des cas de cystite, cette infection est souvent causée parEscherichia coli, une bactérie présente dans nos intestins.

En outre, la pyélonéphrite trouve son origine dans les voies urinaires inférieures – tout comme la cystite. La différence, cependant, est que l’infection passe par l’urètre et la vessie jusqu’à ce qu’elle atteigne les reins.

Tout cela devrait en soi nous fournir une grande leçon : tout ce qui entrave notre capacité à uriner mérite d’être considéré comme un signal d’alarme auquel nous devons prêter une attention particulière.

Mais comment savoir si c’est vraiment une pyélonéphrite ?

Je vous rappelle.

Lire aussi :
La cystite et l’endométriose vésicale sont souvent confondues, mais il existe un moyen de les reconnaître.

Pyélonéphrite : diagnostic et traitement

Il existe plusieurs façons de savoir si vous avez affaire à un problème de pyélonéphrite, la plus courante étant d’examiner votre urine pour y déceler la présence de bactéries.

Dans certains cas, le médecin peut prescrire :

👉🏻 une échographie pour rechercher des kystes ou des tumeurs ;
👉🏻 un scanner en cas d’obstruction des voies urinaires.

Pour traiter cette infection, la première mesure à prendre est la prise d’antibiotiques.

Bien que les médicaments soient connus pour guérir l’infection en 2 ou 3 jours, ils sont généralement prescrits pour toute la durée de l’infection, soit de 10 à 14 jours.

Mais que se passe-t-il lorsque, dans les cas les plus graves, la thérapie médicamenteuse s’avère inefficace?

Dans le cas d’une infection rénale aiguë, le médecin peut décider d’hospitaliser le patient ; la durée du séjour dépend de la gravité de l’affection et de la réponse – évidemment subjective – aux médicaments, généralement administrés par voie intraveineuse pendant 24 à 48 heures.

Enfin, en cas d’infection grave, une opération appelée néphrectomie peut s’avérer nécessaire, le chirurgien retirant une partie du rein.

Donc, pour récapituler… Que faites-vous plutôt dans les cas où vous n’avez pas affaire à une pyélonéphrite, mais à une cystite normale ? 🧐

Après ce tour d’horizon des informations, vous aurez compris que la pyélonéphrite n’a pas grand-chose à voir avec la cystite.

Oui, c’est vrai, certaines causes sont similaires, mais il en existe beaucoup d’autres, de nature anatomique, infectieuse et physiologique, qui sont très différentes de cette infection rénale.

Cela dit, comment traiter la cystite ?

Il existe plusieurs solutions.

Si vous voulez savoir lequel vous convient le mieux, vous pouvez décider de le faire :

🗣 parler aux filles de Dimann qui se feront un plaisir de vous aider ;

🖊 passer le test« Trouver sa voie« , dans lequel vous découvrirez qu’il existe des causes, des facteurs…
différents déclencheurs et conditions pour chacun d’entre eux.

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Nos produits sont composés de divers ingrédients dont l’élément clé est le D-mannose, un monosaccharide provenant entièrement de l’écorce d’arbres durs.

La particularité de ce sucre est qu’il ne tue pas les bactéries, mais les « accroche » pour qu’elles soient excrétées pendant la miction.

Le D-mannose convient aux trois stades de la cystite :

  • aiguë ;
  • le maintien (c’est-à-dire lorsque la phase critique de la cystite a été surmontée) ;
  • de prévention.

Avez-vous d’autres questions ? Visitez notre site web, ou contactez-nous en remplissant le formulaire !

A très bientôt,

Lorenza

Notre article en bref

  • La pyélonéphrite est une inflammation des reins qui peut commencer dans les voies urinaires inférieures et endommager sérieusement les reins.
  • Certaines causes et certains symptômes sont similaires à ceux de la cystite, comme la difficulté à uriner et les mictions fréquentes et douloureuses.
  • La pyélonéphrite peut être diagnostiquée par une culture d’urine et, lorsque les antibiotiques ne fonctionnent pas, le médecin peut opter pour une hospitalisation et une éventuelle intervention chirurgicale.

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